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je vous aime adieu
je vous aime adieu
ne m’en voulais pas
je vous aime beaucoup
mais je peux continuer comme ça
a me détruire intérieurement
ni même a rester la
a écouter mes espoir ce briser
au fond de moi
je vous aimerai toujours
car une partie de moi et en vous
mais pour mon bonheur
ma route avec vous s’arrête
doucement j’ai fermer tous les portes,
qui me relier a vous
elles ont étaient trop longtemps ouverte
en espérant du fond du cœur
que vous les franchiserai
je continue mon voyage seul
je vous aime adieu
pâquerette
pâquerette ,pâquerette
c’est a pâque quelle est la plus nombreuse
on dit aussi que tu est l’âme des insectes
mort durant hiver
pâquerette , pâquerette
tu appelle le printemps on te dit frêle, fragile
pourtant tout les ans tu reviens
fidele ,et belle
on fais de toi des colliers de fleur
et si les tulipe ne te volé pas la vedette
tu serai reine
pâquerette ,pâquerette
ne sois pas triste ouvre tes pétales
et montre nous ton cœur de soleil
un sourire
Un sourire
Un sourire contre toute attente
Un sourire comme seul armure
Un sourire pour seul arme
Combien de personnes ne savent pas lire les sourires
Comprendre cette défense
Qui en déstabilise tant
Sourie quant sa fais mal
Sourie quand tu vas bien
Sourie encore quand tu na plus espoirs
Sourie pour ne pas pleurer ou crier
C’est bien plus joli aussi
Tu passeras pour une fille heureuse
Alors va y sourie
recette spécial
Recette du bonheur
Certain la connaisse d’autre pas…
Alors voici la recette pour ceux qui ne la savent pas:
"Dans le grand plat du bonheur,
Versez tout d’abord de la joie de vivre à ras bord,
Mélangez avec un concentré d’amitié,
Prenez deux bonnes tranches de rigolade,
Que vous sou poudrez de fous rires,
Nappez de beaucoup d’amour tendre et sucré,
Pimentez de quelques graines de folies,
Servez avec une pêche d’enfer et faites durer longtemps!
A consommer sans Modération
Je te dois un secret
Je te dois un secret
Si tu vas vers la vie sans ressentir les autres
Sans relever la tête sans rejoindre un regard,
Si ta marche en avant te conduit en aveugle
A dessiner sans cesse le cercle des prisons,
Si tu souffres d’un mal implanté dans ton cœur
Qui fait pleurer tes nuits et se noyer tes jours,
Si tu renies l’étreinte sans t’acharner encore
A cherché dans l’amour ce que ton être attend,
Si tu perds la notion de tout ce qui est toi
Avec un trou béant pour unique mémoire,
Fais un petit effort pour me tendre la main
Pour reconnaître en moi quelqu’un qui te ressemble.
Si tu sombres sans fin au fil du temps qui passe
Dans le fond d’une eau glauque ou se vide ton sang,
Si dans le noir épais de ta folie rongeuse
Chaque miroir reflète le masque de ta peur,
Fantôme de la vie ignoré du bonheur
Si tu te vois mourir évite de crier…
Car j’aurai le courage de survivre pour toi
Si je sens la confiance chasser ton désespoir.
Je te dois un secret j’ai vécu ton angoisse,
Ton mal je le connais, tu sais, je te ressemble.
Et s’il n’est pas trop tard
Nous essayerons ensemble
d’inventer un soleil
Qui nous fera l’amour….
Il parait que
Il parait que le temps fane un à un les pétales des roses
Que la poussière au fil du temps, inévitablement se pose
Sur les pages écrites par les amoureux
Il parait que le temps creuse des rides sur les visages
Laisse des sillons, des traces fugaces sur son passage
Et la douceur de la peau aimée sous le poids du passé
Peu à peu se met a perdre tout le grain de sa beauté.
Il parait que le temps use les clichés des amours jaunis
Et les regards que l’on croyait éternels sur papier défraîchi
Se perdent dans le livre de la mémoire qui s’enfuit
Sous les années qui peu à peu voûte notre dos meurtri.
Il parait que le temps calme la passion, arrondit les angles
Qu’il emprisonne les sentiments, qu’il les sangle
Dans les profondeurs du cœur noirci par la routine
Qui, d’années en années, met l’amour en sourdine.
Il parait que le temps fane un a un les pétales des roses
Que la poussière, au fil du temps, inévitablement se pose
Sur les « je t’aime » sur les mots dits, écrits au long de ma vie
Je t’aime tellement je ne veux pas vivre et attendre que le temps nous rattrape
Je ne veux pas oublier qu’un jour tu ma aimer
Je ne veux pas passer a coté de tous ce que t’à a me donner
Je veux pas passer le reste de ma vie à te pleurer
Alors j’ai décidé de t’aimer
moi
moi
Qui suis si insignifiante
Je me demande bien des fois
Pourquoi suis-je si transparente
Les autres me côtois sans me voir
Me parlent sans m’écouter
Je me vois comme dans un miroir
Seule et personne à qui parler
Ma seule fenêtre sur la vie
Mon ordinateur et les jeux sur sites
Juste un clic sur ma souris
Et mon pseudo fait que j’existe
Toujours prête à aider mes amies
Je donne de mon temps sans compter
Mais une fois ce service fini
On m’a bien vite oublié
Toujours souriante et aimable
Bien des choses m’étonnent
Mais la réponse est improbable
Ma messagerie instantanée
Les poèmes que j’écris
Sont ma seule façon de parler
Ma seul façon de dire comment je voie la vie
Sans que l’ont juge ma vie
Merci aux inconnus qui m’écrivent
Sur cette belle toile qu’est le net
Par eux excite par eux je vie
merci